hola gamer !
voila il semblerai que de nouveaux termes entubatoires commencet a se mettre en place discretement, voila ce que l'on peu trouver sur les news du comptoir du hardware ...
Pour faire simple les droits des consommateurs sont réduits sur les titres acheter via les plateformes dématerialisées dont steam qui semble flairer l'enculage de cliens et semble avoir envie d'en profiter
et l'article est d'aujourd'hui.
"ÉCRIT PAR PASCAL M. | 17 SEPTEMBRE 2012 À 17H59 | 5735 BAMS
Nous nous enthousiasmons début juillet sur une jurisprudence prononcée à l'encontre d'Oracle leur interdisant de s'opposer à la revente de licences d'occasion, une décision qui pourrait dès lors servir d'amorce à combler le granimportekoïsme (nous allons proposer ce nouveau mot à l'Académie française) entretenu par les plateformes dématérialisées. C'est sans compter sur le culot de Valve qui cet été mettait à jour les conditions d'utilisation de sa plateforme Steam, diminuant les droits de recours du client.
Relevé par nos confrères de Numérama, si vous décidez de vous opposer à ces modifications contractuelles, vous n'aurez dès lors tout simplement plus accès à votre compte, ni aux titres dûment acquis... sous un régime contractuel pourtant différent. Entres autres, ces nouvelles conditions vous interdisent tout plainte de type class action (pas encore faisable en France, mais nul doute que cela arrivera) contre l'éditeur, et un service d'arbitrage maison en cas de litige plateforme / utilisateur. Interrogés sur le sujet, le service client se contente d'un laconique "Comme indiqué dans le précédent ASS, Valve se réserve le droit d'en changer les termes périodiquement". L'éditeur confirme en outre à nos confrères n'offrir aucune compensation pour ceux qui seraient en désaccord avec les nouveaux termes du contrat d'utilisation, ou les prochains, même si vous avez un catalogue de logiciels conséquent. Un seul mot vient à l'esprit dès lors: abusif !
Nous avons interrogé l'association UFC-Que choisir sur la pertinence légale de tels processus. Sans surprise, ils nous ont confiés que de prime abord s'agissant d'une société américaine, il serait fastideux et long d'entamer toute procédure tant les trous juridiques sont béants. En attendant donc un éventuel sursaut de l'Europe sur le sujet, soit vous acceptez l'enfilade en bonne et due forme, soit vous oubliez vos titres."